Duke Ellington - Elvin chez Duke - European Tour - January 1966 - 2015

Duke Ellington - Elvin chez Duke - European Tour - January 1966

Жанр: Big Band, Swing
Носитель: CD
Год издания: 2015
Издатель (лейбл): La Maison du Duke
Номер по каталогу: MDD 007
Аудиокодек: FLAC (*.flac)
Тип рипа: tracks+.cue
Битрейт аудио: (lossy + lossless)
Продолжительность: 65:56
: ruskaval
: да
Треклист:

01. Take The “A” Train (2:10)

02. Black And Tan Fantasy / Creole Love Call / The Mooche (10:17)

03. Chelsea Bridge (4:01)

04. El Viti (4:07)

05. La Plus Belle Africaine (7:54)

06. Trombonio-Bustoso-Issimo (Trombone Buster) (3:50)

07. Passion Flower (4:31)

08. Things Ain't What They Used To Be (3:05)

09. Wings And Things (3:17)

10. Introducing Harry Bellafonte (1:57)

11. Take The “A” Train (7:02)

12. Ad Lib On Nippon (13:44)

Об альбоме (сборнике)
La Maison du Duke is proud to present a collection of unpublished recordings of Duke Ellington, which come from an important stock of Ellington archives (Clavié collection), acquired by the association, which only a few collectors had access to today . The CDs are reserved for members of the Maison du Duke association and are not intended to be marketed.
La Maison du Duke est fière de vous présenter une collection d’enregistrements inédits de Duke Ellington, qui roviennent d’un important stock d’archives ellingtoniennes (collection Clavié), acquis par l’association, auquel seuls quelques collectionneurs avaient accès à ce jour. Tirés en très faible quantité, les CDs sont réservés aux membres de l’association la Maison du Duke et n’ont pas vocation à être commercialisés.
Voici une trace inattendue et mémorable d’une tournée ellingtonienne de 1966 à laquelle s’était joint le grand batteur coltranien!
Jusqu’au 20 janvier, et depuis la fin juillet 65, l’orchestre d’Ellington bénéficiait du drumming de Louie Bellson, qui avait remplacé un Sam Woodyard extrêmement fatigué. Bellson, retenu aux États- Unis par des concerts avec sa femme, la chanteuse Pearl Bailey, est remplacé pour la tournée par Skeets Marsh, honnête drummer philadelphien, qu’on allait revoir à Paris en 1974 avec le big band de Count Basie. Après Lisbonne le 24 janvier et Barcelone le 25, Duke Ellington, peu satisfait du jeu de Marsh, fait appel à Elvin Jones, non pas pour remplacer celui-ci, mais pour l’assister ! Et, sans doute, et secrètement, pour bien s’amuser et secouer les puces aux'anciens' de son orchestre (et il est vrai, nous en fûmes témoins, que Duke, Gonsalves et de rares autres prirent du bon temps tandis que certains ne suaient pas la rigolade…).